Ce portrait chinois a été publié ce samedi 23 Février pour agrémenter de façon légère la publication d' un article pleine page de Nord Eclair consacré au programme de la liste Ouvertement à Gauche que je conduis.
Un animal : l’abeille qui butine et récolte, un insecte indispensable à la pollinisation . Einstein disait que la disparition des abeilles rendrait la planète totalement stérile en moins de 4 ans .
Un plat : Couscous aux fèves : car c’est un plat simple et généreux, comme les moules frites, à l’image des gens du Nord, surtout quand….il est fait par ma mère ! !
Un livre : « Fondation » d’Isaac Asimov. Une magnifique et intelligente fresque de science fiction qui retrace l’histoire de l’humanité et montre les limites d’une civilisation matérialiste sans dimension spirituelle.
Un vêtement : « les bottes de 7 lieues » pour franchir avec aisance les obstacles, les murs de l’ignorance et de l' indifférence.
Une chanson : ma philosophie d’Amel Bent, évidemment!
Un légume : l’artichaut, comme disait Coluche, « c’est le plat du pauvre, où t’en as plus dans ton assiette après qu’avant ».
Un jeu : les échecs. Ils nécessitent concentration, anticipation et combinent les mouvements et les capacités de pièces diverses.
Un personnage de dessin animé : Astérix le Gaulois : il est petit, moustachu et incarne l’esprit de résistance !
Une femme : Françoise Dolto : car elle a fait comprendre à plusieurs générations que l’enfant est une personne, qui fait grandir aussi ses parents.
Un personnage historique : Nelson Mandela : j’ai visité sa modeste maison à Soweto. Il en faut une bonne dose de générosité et d’humanité pour sortir d’un système aussi violent que l’apartheid par la réconciliation.
Un film : Les Temps Modernes de Charlie Chaplin : une critique par un très grand acteur de l’homme broyé par la recherche effrénée du profit.
Une émission télé réalité : Pékin Express, une belle émission de découverte de mondes et de cultures différents. Avec un euro par jour, compter sur la générosité et l’hospitalité de tous ceux que l’on rencontre, au hasard du chemin.
Slimane TIR