26 février 2008
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01:37
SIX ANS D'EMPRISONNEMENT, SIX ANS DE TROP :
LES FARC DOIVENT LIBERER IMMEDIATEMENT
INGRID BETANCOURT
ET TOUS LES OTAGES
•••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Cela fait exactement six ans que la militante écologiste Ingrid Betancourt est détenue par les FARC, au mépris du droit international humanitaire, dans des conditions inhumaines.
Elle fait partie de la quarantaine d’otages civils, policiers et militaires que cette guérilla détient comme "monnaie" d’échange contre des centaines de guérilleros emprisonnés.
La marche du 4 février 2008, aux motivations certes diverses, démontre néanmoins l’isolement des Farc, qui resteront une organisation terroriste aux yeux de la communauté internationale tant que la prise d’otages demeurera une de leurs pratiques.
Les Verts demandent aux FARC de relâcher immédiatement, unilatéralement et sans condition Ingrid Betancourt et tous les civils séquestrés. L’état de santé déplorable et la maltraitance dont souffre Ingrid rendent sa libération particulièrement urgente. Ils appellent les FARC et le président Uribe à cesser de poser des conditions non négociables et mutuellement inacceptables en vue de l’ouverture de négociations pour un accord humanitaire, seule voie qui puisse permettre enfin aux combattants en uniforme des deux camps de retrouver la liberté.
LES FARC DOIVENT LIBERER IMMEDIATEMENT
INGRID BETANCOURT
ET TOUS LES OTAGES
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Cela fait exactement six ans que la militante écologiste Ingrid Betancourt est détenue par les FARC, au mépris du droit international humanitaire, dans des conditions inhumaines.
Elle fait partie de la quarantaine d’otages civils, policiers et militaires que cette guérilla détient comme "monnaie" d’échange contre des centaines de guérilleros emprisonnés.
La marche du 4 février 2008, aux motivations certes diverses, démontre néanmoins l’isolement des Farc, qui resteront une organisation terroriste aux yeux de la communauté internationale tant que la prise d’otages demeurera une de leurs pratiques.
Les Verts demandent aux FARC de relâcher immédiatement, unilatéralement et sans condition Ingrid Betancourt et tous les civils séquestrés. L’état de santé déplorable et la maltraitance dont souffre Ingrid rendent sa libération particulièrement urgente. Ils appellent les FARC et le président Uribe à cesser de poser des conditions non négociables et mutuellement inacceptables en vue de l’ouverture de négociations pour un accord humanitaire, seule voie qui puisse permettre enfin aux combattants en uniforme des deux camps de retrouver la liberté.